Quatrième édition de Jazz à l’Évéché

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Exposition photos de l'agence Magnum accrochée sur les grilles du parc Pasteur à Orléans jusqu'au 16 septembre 18

Sur les transats, si vous arrivez suffisamment tôt, assis dans l’herbe ou attablés devant un verre et un repas, vous serez face à la grande scène pour assister aux concerts. Cette année, la Nouvelle-Orléans est à l’honneur ! « Berceau du jazz et du blues, ville festive au bouillonnement artistique et musical mondialement reconnu », précise Nathalie Kerrien, déléguée à la culture à Orléans.

Programme éclectique

Dès mercredi et jusqu’à samedi, des groupes se succèderont pour votre plus grand bonheur ! Add et quoi vous invite à souffler leur vingt-cinquième bougie ; Électro Deluxe n’est pas un groupe électro ; Gumbo Jam « porte un regard nouveau sur la musique afro-américaine » ; Hugh Coltman explore le paysage jazz ; Free fellers, un trio qui « navigue à vue et à contre-courant » ; Raoul Jazz clan, vainqueur du tremplin jazz or jazz 2018 ; Ylian Cañizares, violoniste et chanteuse cubaine ; Majnun, chanteur plurilingue ; Sly Jonhson au « groove abrasif » sur la grande scène. Un moment dédié à la jeunesse avec La trompette magique par Jérôme Etcheberry qui a élaboré le spectacle spécialement pour cette édition de Jazz à l’Évêché.

D’autres concerts, tous les soirs, sur la scène Caravane, toujours dans ce même jardin de l’Évêché. Mais aussi jeudi au théâtre de verdure d’Olivet à 19 h et samedi, place de République à Orléans à 16 h.

Et sur les grilles du parc pasteur, à Orléans, une exposition accueille quarante photos en noir et blanc pour rendre hommage à la Nouvelle-Orléans, jusqu’au 16 septembre. De beaux clichés proposés par la célèbre agence Magnum.
Enfin, les mercredis 20 juin et 4 juillet à 23 h, les murs de la cathédrale s’habilleront aux couleurs de la Nouvelle-Orléans. Cette projection a été créée par des élèves des Gobelins, l’école de l’image.

Édith Combe