Enquête parcellaire complémentaire sur le territoire des communes de Mardié, Sandillon et Saint-Denis-de-l’Hôtel du 28 janvier au 11 février 2019

La dite enquête parcellaire est en lien avec le projet de déviation de la RD 921 entre Jargeau et Saint-Denis-de-l’Hôtel déclaré d’utilité publique par arrêté préfectoral du 16 septembre 2016 et concerne 10 parcelles sur les communes de Mardié, Sandillon et Saint-Denis-de-l’Hôtel. L’ouverture de cette enquête est prescrite par l’arrêté préfectoral du 20 décembre 2018.

L’enquête parcellaire complémentaire est diligentée conformément aux dispositions des articles R. 131-3 à R. 131-13 du code de l’expropriation pour cause d’utilité publique. Elle est destinée à déterminer les immeubles à exproprier pour la réalisation des travaux de la future déviation et rechercher les propriétaires, les titulaires de droits réels et autres personnes intéressés concernées par l’expropriation.

Pour rappel, le projet routier porte sur 14,7 km de route dont 13,5 km en tracé neuf à 2x1 voies incluant un nouveau pont de franchissement de la Loire. Il s’organise en trois sections :

  • Une section centrale relative au franchissement de la Loire ;
  • Deux sections dites « courantes » : l’une au sud de la section centrale du contournement ouest de Jargeau (liaison RD13 – RD951) et l’une au nord de contournement de Saint-Denis-de-l’Hôtel (liaison RD960 à l’est de Mardié – RD960 à l’est de Saint-Denis-de-l’Hôtel).

Les objectifs du projet sont :

  • D’améliorer le cadre de vie des habitants en réduisant les nuisances liées notamment au trafic de poids lourds dans les communes traversées (centres-villes de Jargeau et de Saint-Denis-de-l’Hôtel, riverains de la RD951 à Darvoy et de la RD 921 à Férolles) ;
  • De sécuriser l’itinéraire tout en faisant face aux besoins d’échanges interdépartementaux, et de permettre ainsi un aménagement apaisé des centres urbains de Jargeau et Saint-Denis-de-l’Hôtel ;
  • De fluidifier la circulation en adaptant la capacité et la géométrie de l’axe RD 921 à ce niveau de trafic ;
  • De doter le territoire d’un ouvrage restant ouvert à la circulation pour des niveaux de crue de retour supérieur à 200 ans ;
  • De renforcer le plan d’évacuation des populations en cas de crue et de devenir l’unique ouvrage franchissable à la crue de 500 ans pour les services de secours.

Revenir en haut de page